Hsiao-Mei Hsu s'intéresse à la fragilité, tant dans les sujets qu'elle aborde que dans les matières qu'elle adopte et les systèmes d'accrochage qu'elle emploie.

 

À travers son travail, elle tente de donner forme à ces sentiments subtils, de leur accorder une existence, et propose de trouver la paix en les expérimentant. Elle cherche un équilibre entre vulnérabilité et résilience, la limite où la fragilité se tient sans se briser.

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Le rapport entre l'extérieur et l'intérieur, entre ce que nous révélons et ce que nous gardons en nous, est également l'un de ses principaux centres d'intérêt. Pour ce fait, elle travaille souvent sur les deux côtés d'un support translucide, jouant avec le dialogue entre eux. Ses anciennes études en botanique transparaissent dans ses créations, à travers l’apparence métaphorique, la participation physique ou les matériaux réalisés du végétal.

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Elle crée en réponse à des événements privés, prenant l’art comme un appui sur ce voyage de vie. Récemment, elle travaille autour de la réconciliation de ses identités nouvelle et ancienne en tant que taïwanaise en France.

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Hsiao-Mei utilise différents médiums en fonction de la légitimité des projets, comprenant  le dessin, l’installation et l’image. Pour ses créations à partir des matières, elle porte un intérêt surtout sur le papier et le textile, entre autres.